mercredi 24 novembre 2010

Une fin ... enfin pour l'instant.

Érasme , More , Rabelais était bien trop en avance sur leurs temps pour que les gens de leurs époque les prennent plus ou moins au sérieux , mais de cette grande période que fût la Renaissance , cette années nous retiendrons ces 3 auteurs , " maître de pensé " eux qui donnèrent une nouvelle vision de l'homme , l' homme Humaniste

Ainsi s'achéve notre premiére grande partie : l' Humanisme, nous espérons que vous avez prit plaisir a lire ces 3 " petits " paragraphes et croisez les doigts pour nous ! Car c'est noté ;-)


A bientôt , pour la Poésie cette fois-ci.


Zakaria & Flavien
1S8


Fin du blog à 20:16 ( prévu à 20:00 normalement ... )

3° ) François Rabelais , Pantagruel


François Rabelais était un médecin et écrivain humaniste français de la Renaissance, né de Chinon , à une date indéterminée entre 1483 et 1494, et mort à Paris le 9 avril 1553.
Son œuvre littéraire est vaste et varié qui  tient à la fois du conte avec ses personnages géants et de la parodie du roman de chevalerie.
Il était un admirateur d'Érasme, maniant la parodie et la satire parfaitement , Rabelais est de ceux qui luttent avec enthousiasme en faveur de la tolérance, de la paix et du retour aux valeurs antiques autrement dit Rabelais était un humaniste. Rabelais s'en prend aux abus des princes et des hommes d'Église, à l'Eglise catholique  et leur oppose la culture populaire, paillarde, « rigolarde », faite de vin et de jeux, pétrie d'une morale chrétienne légère, loin des lourdeurs ecclésiastiques qui critique dans certaines de ses oeuvres.


De Rabelais cette année , nous avons étudié " Pantagruel ". Issue du romand de Chevalerie Médiévale , Pantagruel (1532) , où il livre avec humour les idées optimiste du pantagruélisme : qui est une gaieté d'esprit qui s'érige en haine des esprits mesquins qui refuse de profiter de la vie. La liberté de ses livres à déplût fortement à l' Eglise et ne fût guère apprécié par le bon goût classique , Rabelais un auteur trop en avance sur son temps ? ...
A coté de la trivialité de certains passages des morceaux de bravoure semble se détacher comme la célèbre lettre de Gargantua qui propose a son fils un plan de vie propre à en faire un gentilhomme humaniste accomplie.


La morale de Rabelais se résume tout entière dans le principe de Thélème : « Fais ce que voudras ». Puisque la nature est bonne, aucune manifestation de la nature ne saurait être mauvaise (du moins « chez gens libérés, bien nés, bien instruits, conversant en compagnies honnêtes » ) : la nature veut toujours ce qui doit être, quand elle n’est ni déviée ni comprimée. Le pantagruélisme consistera donc à débrider toutes les forces de l’être et à les satisfaire aussi complètement que possible.
Le mal est ce qui contrarie et mutile la nature : la morale religieuse, l'ascétisme catholique, toutes inventions diaboliques de la hideuse Antiphysie, voilà les choses qui excitent le mépris ou l’indignation de Rabelais. Par contre, l'égoïsme qu’il lâche en liberté est à peu près inoffensif, parce qu’il s’offre dans sa simplicité primitive et naturelle sans se compliquer d’ambition ni d’intérêt.


Il faut donc voir dans les règles morales que les thélémites s’imposent librement eux-mêmes une profession de foi humaniste et la solennelle proclamation de l’idéal humain de la Renaissance.

2°) Thomas More, l'Utopie

Thomas More (7 février 1478, Londres – 6 juillet 1535, Londres), est anglais. Chancelier du roi Henri VIII, il renonça à sa charge, et fut finalement condamné à mort en raison de son refus de reconnaître l'autorité religieuse que s'était arrogée le roi.
Grand ami d'Érasme, érudit, philanthrope, il participa pleinement au renouveau de la pensée qui caractérise cette époque, ainsi qu'à l'humanisme, dont il fut le plus illustre représentant anglais.
Le mot « utopie » est formé à partir du grec ou-topos, qui signifie en aucun lieu ou bien lieu du bonheur (du grec "eu" bien, heureusement et "topos" lieu, endroit).
Dans Utopie (1516) sur le mode du dialogue avec un narrateur : Raphaël Hythlodée , Thomas More prône la tolérance et la discipline au service de la liberté, à travers le portrait d'un monde imaginaire, proche de l'idéal de l'auteur.Ce roman était déstiné à faire diptyque avec l'Eloge de la folie de notre auteur vu dans la partie précédente : Erasme. Nous avons alors étudié en classe un passage de ce roman en remarquant que celui-ci commençait tout d'abord par une définition du plaisir selon les utopiens. Pour Thomas More le plaisir n'est pas uniquement sensuel mais également raisonnable. En effet l'auteur écrit : " ce ne sont pas seulement les sens qui s'y porte, mais la droite raison". On trouve chez Thomas More un équilibre entre plaisir charnel et mental. Le plaisir n'est pas seulement dans la frénésie, mais également dans l'exercice des vertus.
Dans la suite du texte on remarque que Thomas M. utilise la satire pour essayer de dénoncer les choses, en écrivant sur une terre idéal.On trouve dans le texte des arguments venant étayer le texte comme : " les utopiens ne pas de plaisir dans l'aboiement et le hurlement des chiens"" ou encore : " les utopiens ne connaisse pas non plus de plaisir dans le jeu car il est absurde; c'est à dire qu'il n'a pas de sens".
Il semblerait que Thomas M. soit l'un des précurseur des lumières au XVIII e s. car il fait l'usage de la raison plus qu'a des superstition religieuse on peut y voir comme un rejet de la religion comme pour Erasme.
Cependant un détail peut choquer dans ce texte, l'auteur montre la société idéal mais la présence de gens libre et celle des gens réduit a l'esclavage. Il semble faire une distinction entre les hommes comme si il y avait une hiérarchie.
On vois a travers ce texte la sueur d'une société modèle reflété par l'esprit de Thomas.M critiquant, dénonçant les injustices de sa société du XVIe s. de plus historiquement on peut remarquer que Thomas M. adresse son texte directement à Henry VIII monarque anglais qu'il considère comme cruel et ce protège dans la fiction mais il serra exécuté sur ordre du roi.

1°) Erasme, L'Eloge de la folie

Erasme , né en 1466 ou 1469 à Rotterdam et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un humaniste considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive.Nous avons étudier l'Eloge de la folie(1511) et dans ce texte Erasme fait parler la déesse de la folie pour donner naissance à un dialogue entre le lecteur et cette déesse, il la personnifie on le remarque grâce q quelque pronoms personnels : " oui, c'est moi, c'est bien moi " ; " à mon sujet ".
Dans son texte il défend une thèse qui est le fait que la folie est engendrée par l'homme ,(l'homme et la femme sous entendue ), en employant des exemples comme le mariage qui à son idée n'est engendré que par la folie. Il m'es aussi en avant le stoïcisme qui est une philosophie mettant en pratique la méditation dans le but de ne plus avoir de passion, ou bonheur pour ne plus ressentir de souffrance, vivre en osmose avec la nature pour atteindre la sagesse qui pour eux est le bonheur. Erasme vois ces hommes comme des parleur exaltant leurs argument pour faire ressortir une image positive. Cette exemple montre que la folie exalte le bonheur même si elle apporte une action dans la vie qui peut être regrettée dans le futur comme le mariage d'un homme et d'une femme. Il explique encore que l'homme est engendré par l'homme par je site : "une partie du corp impossible de nommer sans en rire" cette phrase s'en prend a la religion disant que l'homme crée l'homme et tous ce qu'il le complète dans un mouvement de folie.

Ce texte est subjectif car il a une opinion propre à lui même, qui est le débat sur la folie pouvant être le début de tous ?
On peut remarquer qu' Erasme procède avec méthode en établissant une progression dans ses différents arguments : D'abord il par d'un constat puis à une affirmation sur l'origine de la vie de l'homme afin d'aboutir à la thèse qu'il défend : La vie serait insipide si il n'y avais pas de plaisir.Voici la vision d' Erasme pour la société, il montre ses pensées et ses arguments.

samedi 20 novembre 2010

Pour commencer...

Comme promis nous allons présenter notre premier grand thème : L' Humanisme .

L’humanisme est un courant culturel européen qui s'est développé à la Renaissance (XIVeme siècle) Renouant avec la civilisation gréco-latine, les intellectuels de l'époque manifestent un vif appétit de savoir. Considérant que l’Homme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées, ils considèrent la quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines comme nécessaires au bon usage de ces facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue...
c'est pourquoi nous étudierons tout d'abord Erasme par son oeuvre, L'Eloge de la folie puis Thomas More et son Utopie et pour finir Rabelais et son ettonant Pantagruel !


I / L'Humanisme vu par :


1°) Erasme




2°)Thomas More




3°)Rabelais